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Le combat des chefs ?
09/10/2009 15:44
La guerre des droites aurait - elle repris ? C'est la question que l'on peut se poser en lisant le dernier article du Blog UMP où Nesseredine Ramdani n'est pas tendre avec son co-listier d'hier, Laurent Bocquet ! Une chose est certaine, c'est que devant la virulence du ton employé par le délégué UMP, l'union des droites à Hénin Beaumont n'est pas prête à se faire sur l'une des deux parties qui sont en conflit perpétuel. Seul le Nouveau centre semble prendre ses distances avec ce jeu malsain. Quand à nous, nous y voyons une nouvelle fois, un triste épisode illustrant ce que nous pensions de l'UMP. Un parti sans âmes, insipide, se nourrissant de la haine mutuelle de ses barons tant nationaux que locaux, où les "ex" d'hier reviennent le lendemeain, et où les militants gaullistes sincères ne reviennent plus. Un parti qui trahis chaque jours un peu plus la France, un parti qui ne respecte pas ses militants, un parti où régne l'affairisme, le népotisme et la vanité. Bref, un parti qui, comme le PS, sera appelé à disparaitre ! Quel dommage de voir tant d'energie au local être déployé pour des futilités alors que le sort de notre ville et de la Nation est en péril. Nesseredine Ramdani et Laurent Bocquet devrait passer leur colère sur Nicolas Sarkozy et son gouvernement qui chaque jours enfoncent un peu plus notre Pays et non pas jouer la division épargnant ainsi leur dirigeant de toutes critiques.
PW
Commentaire de laurent Bocquet (09/10/2009 20:15) :
bonsoir Pascal,
rentré du travail à nouveau très tard,tu me fais prendre connaissance de
l'article vdn de ce matin et des gesticulations spasmodiques de mon
ancien co-listier habitant Aix-Noulette.
bôôôf!
cela fera la joie de mon avocat dans le cadre de ma procédure à son
encontre..
Bref,rien de neuf derrière Lens,j'y répondrai quand je n'aurai
que ça à faire!
Je te rassure,il n'y a pas de combat de chef,tu me sais,je le crois,
très ouvert,(la situation n'est plus à l'heure des clivages
droite/gauche,tant au niveau local que national)et nous avons vraiment
entre Héninois,bien autre chose à faire.
Mes amitiés à ton entourage et tes militants.
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Soutenons le président KLAUS face au traité de Lisbonne !
09/10/2009 14:42
Après le oui irlandais au traité de Lisbonne, le dernier espoir pour sauver la démocratie en Europe de la surenchère supranationale réside dans la résistance courageuse du président Vaclav KLAUS à ceux qui veulent l’obliger à ratifier le traité.
En gagnant suffisamment de temps (au plus tard jusqu’en juin 2010), le président tchèque pourrait ainsi permettre aux Conservateurs britanniques d’organiser un référendum en Grande-Bretagne, où la supranationalité liberticide n’a aucune chance de passer l’épreuve des urnes.
Alors, pour encourager M. KLAUS à ne pas céder aux injonctions de l’UE, mobilisons-nous en signant la pétition (en anglais) où des citoyens de tous les pays de l’UE se rassemblent pour faire barrage au déni démocratique bruxellois.
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Le mot de la semaine
09/10/2009 14:35
Le tourbillon des petites polémiques n’en finit pas de sillonner notre pays qui, pourtant, n’en a vraiment pas besoin. Où s’arrêtera-t-on ? La politique spectacle (shows communicationnels incessants, « prises de guerre » avec la politique d’ouverture, « cagnottes » scolaires,…) a laissé la place à la politique people (grand déballage sur la vie privée d’Eric Besson, écho sur la nouvelle romance de Ségolène Royal,…), avant de sombrer carrément dans le sordide avec l’affaire Polanski et ses hallucinants prolongements.
Que révèle ce climat ? Outre le goût immodéré de notre temps pour l’immédiat, le sensationnalisme, même de bas-étage, ou encore la tentation de la transgression permanente telle qu’elle est montrée en quasi exemple dans les hautes sphères, l’air du temps reflète d’abord le vide du débat public, le renoncement de la classe politique à peser sur le cours des choses, par résignation ou laisser-faire. En effet, sorti des annonces fracassantes, des promesses tonitruantes jamais suivies d’effets (remontée de l’insécurité, retour de plus belle de la spéculation, abandon des ouvriers Gandrange,…), sorti des réformes dangereuses car pharaoniques (Grand Paris) ou taillées sur mesures pour les amis du Fouquet’s (libéralisation des jeux, bouclier fiscal,…), force est de constater que nos gouvernants refusent de s’attaquer à la racine des problèmes qui tourmentent nos concitoyens.
Face à la morne plaine de cette vie politique faite d’apparences et d’incantation, Debout
la République
se distingue précisément par sa volonté d’oser dire les choses et d’oser proposer les solutions audacieuses qui, seules, peuvent redresser le pays. Refuser de s’enliser dans les petites polémiques qui détournent de l’essentiel pour se consacrer encore et toujours aux vrais défis que doit relever
la France
, est en quelque sorte notre marque de fabrique à DLR. Et nous n’en changerons pas !
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"La mauvaise vie" dans la tempête
08/10/2009 16:36
La défense intenable de Frédéric Mitterrand
Marine Le Pen vient de déclencher une polémique sur un livre écrit par Frédéric Mitterrand en 2005, où il évoque, entre autres, son tourisme sexuel en Asie. Les origines de l’attaque font que la majorité de la classe politique défend le ministre, à quelques exceptions prêt…
Des arguments irrecevables
Il est pour le moins piquant de voir les petits soldats du président, Xavier Bertrand et Frédéric Lefebvre, défendre le ministre de la culture. Mais l’examen des axes de défense choisis démontrent la faiblesse de leur argumentation. Martine Aubry, élude le débat en affirmant ne pas « imaginer » qu’il se soit livré à une « apologie du tourisme sexuel », tout en précisant n’avoir « pas lu le livre ». Certains affirment qu’il s’agit d’un roman, mais l’auteur a reconnu que c’était sa vie, comme le montre Le Figaro.
Le ministre a choisi la voie la plus facile en attaquant le messager (le FN) plutôt qu’en répondant sur le fond. Mais si le FN dit qu’il y a trop de chômage, on ne va pas dire qu’il n’y en a pas assez... D’autres affirment qu’il s’agit de sa vie privée et que cela doit le rester. On peut doublement contester cette ligne de défense. Tout d’abord, Frédéric Mitterrand a choisi de rendre sa vie privée publique en écrivant ce livre, à son profit. En outre, il y a la vie privée à laquelle toute personne publique a droit et les actes plus ou moins légaux.
Car c’est bien le problème avec ce que décrit Frédéric Mitterrand : il s’agit de tourisme sexuel. En outre, le ministre n’a pas levé l’ambiguïté sur l’âge des « garçons » avec lesquels il a couché. Bien sûr, certains le défendent en dénonçant l’homophobie des critiques. Mais il ne s’agit pas ici d’attaques sur ses préférences sexuelles, mais bien sur sa pratique du tourisme sexuel. Est-il vraiment acceptable qu’un ministre de la République en fasse la publicité dans un livre ?
Les voix de la République
Heureusement, quelques personnalités osent braver le consensus mou de défense du ministre. Hier soir, sur Canal Plus, Benoît Hamon a tenu un discours responsable, et a reconnu avoir été « choqué » et trouver cela « grave ». Ce matin sur RMC, Nicolas Dupont-Aignan a tenu le même langage en soulignant qu’il n’est pas acceptable de donner l’impression qu’il y a deux poids, deux mesures, selon que l’on soit puissant ou pas. La position de ceux qui le défendent n’en est que plus surprenante, pour ne pas dire plus.
Cette affaire Frédéric Mitterrand révèle deux problèmes. Tout d’abord, elle pose la question de l’exemplarité du comportement des ministres de la République. Est-il acceptable qu’un ministre fasse la publicité du tourisme sexuel dans un livre ? Ensuite, elle soulève la différence de traitement entre les puissants et le tout-venant. Comment ne pas être choqué par les levées de bouclier d’une certaine élite pour protéger Roman Polanski et Frédéric Mitterrand d’actes pourtant répréhensibles ?
Bien sûr, il ne faut pas tomber dans les travers anglo-saxons. Mais dans le cas présent, cela n’a rien à voir. Il ne s’agit pas d’une révélation orwellienne d’un pan de la vie privée d’un ministre qui aurait dû rester privée. Il s’agit d’actes et d’écrits plus que déplacés rendus publics par un ministre de la République.
Laurent PINSOLLE
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